Fondation Images Et Societe

J'ai eu l'opportunité de m'intéressé un peu au travail de la fondation qui était un projet prometteur. Malheuresement les sujet traité ne sont que des sujets superficiels comme les stéreotypes hommes femmes dans la pub. Mais on étudie pas vraiment les sujet de fond comme l'inexistence du pauvre dans la pub. Bref le fondement était bon la mise en place nul..

La fondation images et société fait un travail formidable avec les jeunes, j’ai fait de belles rencontres très enrichissantes en étant à l’arcade. Cette fondation remplit une mission essentielle en sensibilisant les jeunes aux images qu'ils voient tous les jours.Du bon travail, bravo.

La fondation images et société est un espace qui permet d'apprendre à réfléchir et aiguiser l'esprit critique sur les différentes images que l'on voit partout. À travers une grande collection d'images, nous pouvons questionner notre regard, mieux comprendre et filtrer ce qui nous pénètre avec chaque image que nous voyons.

Depuis plus d'une année je profite de l’espace de coworking EyeSmart dans lequel j'ai pu établir ma société de multimédia (WM Productions Sàrl). C’est très bien aménager et sympa, ça me rend un grand service. Il y a tout ce qu’il faut pour travailler dans un cadre très agréable et je n’ai pas du tout envie d’aller ailleurs. Il me permet de recevoir mes clients dans de bonne condition. Nous avons même pu installer un studio pour faire des interviews vidéo. Le travail de la fondation images et société, permet de mieux comprendre les images, et sert à chacun dans la compréhension des messages caché dans les images. Cette analyse et très importante actuellement pour ne pas être tromper par le marketing intensifs. D’ailleurs, c’est un sujet qui manquait dans ma formation de réalisateur cinéma. Merci à la fondation images et société pour son aide et j'espère que cette collaboration dure.

Un lieu où l'on peut analyser et comprendre en faisant, c'est à dire par la pratique, les stéréotypes à la base par exemple des publicités, sans pour autant rentrer dans une optique binaire des clichés bien/mauvais